Rogny-les-Sept-Écluses : L’eau de Puisaye, clé d’un empire logistique

Au cœur de la Puisaye, Rogny-les-Sept-Écluses ne serait qu’un village endormi si l’eau n’avait pas fait de ce territoire le pivot d’une révolution économique nationale. L’escalier monumental de sept écluses, pensé par Henri IV et Sully pour relier les bassins de la Loire et de la Seine, incarne un génie d’ingénierie audacieux. Mais au-delà du prestige architectural, cet ouvrage révèle une réalité profonde : sans l’alimentation en eau exceptionnelle fournie par la Puisaye, rien n’aurait été possible. Ce territoire humide, parsemé d’étangs et de rigoles, est devenu la ressource hydraulique vitale du canal de Briare et, par extension, de l’approvisionnement de Paris en bois, denrées et matériaux.

Quand le commerce fluvial décline au profit du rail au XIXᵉ siècle, la Puisaye, privée de son rôle stratégique et de ses débouchés pour le bois, le fer et les productions vivrières, tentera désespérément de s’insérer dans la nouvelle économie ferroviaire. Une histoire de flux, de déclin et de reconversion qui façonne encore aujourd’hui ce territoire méconnu.

Le défi hydraulique : la Puisaye, château d’eau du canal

La réalisation des sept écluses de Rogny et du canal de Briare reposait sur un défi technique colossal : alimenter en permanence le bief de partage, situé au point culminant du canal, à environ 160 mètres d’altitude[1][2]. Chaque passage d’une chaîne de bateaux dans l’escalier d’écluses consommait des volumes d’eau considérables, nécessitant un apport constant et fiable pour éviter l’assèchement estival du canal.

La solution se trouvait dans la nature même de la Puisaye : territoire traditionnellement très humide, cette région naturelle située entre l’Yonne et le Loiret est caractérisée par des placages argileux imperméables et une forte pluviométrie qui favorisent la rétention d’eau[3]. Dès le XVᵉ siècle, les habitants avaient créé de nombreux étangs pour la pisciculture et l’artisanat. Mais c’est la construction du canal de Briare au XVIIᵉ siècle qui transforme ces étangs en éléments d’un système hydraulique d’envergure nationale[4][2][3].

Hugues Cosnier, l’ingénieur mandaté par Henri IV en 1604, conçoit un réseau complexe d’étangs-réservoirs reliés par plus de 70 kilomètres de rigoles bétonnées[4][2][5]. Ces rigoles collectent l’eau des bassins versants de la Puisaye (environ 18 000 hectares côté Loire) et l’acheminent vers le bief de partage du canal[2][6]. Les principaux réservoirs incluent l’étang du Bourdon, créé en 1901 (le plus vaste de Puisaye avec sa forme de cheval), l’étang de la Gazonne, l’étang de Grand-Rue, l’étang de la Tuilerie et bien d’autres[2][3][7]. Ensemble, ces 14 étangs-réservoirs gérés par Voies Navigables de France (VNF) représentent un volume utile de 11 millions de mètres cubes d’eau[2].

La rigole de Saint-Privé, longue de près de 21 kilomètres et mise en chantier en 1646, constitue l’artère principale de ce système, alimentant le canal avec une partie des eaux du Loing[4][5][8]. L’eau y met environ 28 heures pour rejoindre le canal depuis sa source. Pour limiter l’évaporation, les rigoles sont bordées d’arbres, technique qui perdure encore aujourd’hui[4]. À partir de 1922, une usine élévatoire de Briare complète le dispositif en prélevant de l’eau directement dans la Loire via un tunnel souterrain de 345 mètres de long et de 2,30 mètres de diamètre, pour la réinjecter dans le bief de partage[2].

Ce système hydraulique était indispensable au fonctionnement du canal, permettant non seulement la navigation, mais aussi les prélèvements agricoles et le maintien des écosystèmes aquatiques de la région[2][3].

Une charnière économique nationale : bois, fer, ocre et vivres

Grâce à son système d’alimentation en eau, le canal de Briare devient au XVIIᵉ et XVIIIᵉ siècles une artère vitale pour l’économie française, reliant la Loire à la Seine et permettant le ravitaillement massif de Paris. La Puisaye, territoire forestier et humide, joue alors un rôle majeur en fournissant non seulement l’eau, mais aussi des marchandises stratégiques.

**Le bois**, d’abord, constitue l’essentiel du trafic. Dès la disette de l’hiver 1782-1783, Paris manque cruellement de bois de chauffage et de construction[9][10]. Le canal de Briare permet d’acheminer les bois du Morvan et du Bazois par flottage puis par chalands[9][10]. La Puisaye, région de forêts et d’étangs, participe activement à ce commerce en fournissant du bois, du charbon de bois et des écorces. Le flottage, technique ancestrale consistant à laisser dériver les bûches sur les rivières, se développe dans toute la région[10].

 

essai

**Le fer** constitue une autre richesse majeure de la Puisaye. Depuis l’Antiquité, cette région est un centre métallurgique de premier plan grâce à ses gisements de minerai de fer[11][12][13]. Les bas-fourneaux gallo-romains, utilisant la méthode directe de réduction du fer, ont laissé des traces considérables : près de 2 500 amas de scories (appelés « ferriers » ou « crécis ») ont été recensés dans le sud-ouest de l’Yonne[12][13][14][15]. Le ferrier de Tannerre-en-Puisaye, classé Monument historique en 1982, s’étend sur 30 hectares et témoigne de l’ampleur de cette production antique[16][17]. Les Romains y ont produit des quantités massives de fer grâce à des techniques avancées et des moyens considérables[12].

Au Moyen Âge, la production de fer en Puisaye se poursuit, alimentant les forges locales et les marchés régionaux. Les scories, riches en fer résiduel, sont réutilisées dès le XVIIᵉ siècle par les potiers pour émailler leurs pots (donnant une couleur vernissée orangée à marron foncé) et au XIXᵉ siècle pour empierrer les routes et les voies ferrées[18][19]. Au début du XXᵉ siècle, ces scories sont même expédiées par chemin de fer vers les hauts-fourneaux de Meurthe-et-Moselle pour y récupérer le fer et stimuler la production sidérurgique[20][18].

**L’ocre** représente une autre industrie emblématique de la Puisaye. Exploitée dès le XVIIIᵉ siècle de manière artisanale, l’ocre jaune et rouge de Puisaye (extraite principalement à Pourrain, Diges, Parly et Toucy) devient une production industrielle majeure au XIXᵉ siècle[21][22][23][24]. Vers 1880, l’extraction d’ocre emploie plus de 400 personnes à temps plein et produit environ 18 000 tonnes par an, faisant de cette activité la plus importante activité non agricole de l’Auxerrois, région sous-industrialisée[21][22][23]. Nicolas Croiset, arrivé à Pourrain en 1763, perfectionne les techniques de traitement et de commercialisation de l’ocre, ouvrant même une boutique à Paris[22][23]. L’ocre, broyée sur place, est acheminée à Auxerre par tonneaux puis, par voie d’eau via le canal de Briare, expédiée jusqu’à Paris[22][23][24].

**Les productions vivrières et artisanales** complètent ce tableau économique : céréales, vins, sel, chanvre, lin, grès, tuiles, poteries circulent sur le canal[1][25]. La poterie de Puisaye, notamment celle de Saint-Amand-en-Puisaye et Bonny-sur-Loire, se développe grâce à l’argile locale et reste vivante jusqu’au XXᵉ siècle[11].

Le canal de Briare devient ainsi le « super-marché fluvial » de la France pré-industrielle, colonne dorsale de la logistique nationale reliant Saône, Rhône, Loire et Seine[1][25]. La Puisaye, territoire autrefois enclavé et difficile d’accès, se trouve propulsée au centre de cette économie de flux.

Le déclin fluvial et la tentative ferroviaire

Au XIXᵉ siècle, l’essor du chemin de fer transforme profondément l’économie des transports. Plus rapide, plus régulier et moins dépendant des contraintes hydrauliques, le rail concurrence directement la navigation fluviale. Pour la Puisaye, cette révolution technologique sonne le glas de son rôle stratégique dans l’alimentation hydraulique du canal et l’acheminement des marchandises[9][10][26].

Dès les années 1840-1850, le trafic sur le canal de Briare stagne puis décline face à la concurrence ferroviaire. Le canal du Nivernais, construit entre 1784 et 1841 pour acheminer le bois du Morvan vers Paris, voit son trafic de commerce diminuer dès les années 1880 avec la baisse de la demande en bois de la capitale et le développement du chemin de fer[10]. La loi de 1880 imposant le gabarit Freycinet (écluses de 39 m sur 5,20 m) entraîne entre 1880 et 1887 la construction d’un nouveau tracé du canal de Briare qui contourne la colline de Rogny et disperse six nouvelles écluses[1][27]. L’ancien escalier de sept écluses, trop étroit et trop consommateur d’eau, est alors abandonné à la navigation et classé monument historique.

Privée de son rôle hydraulique essentiel, la Puisaye perd également ses débouchés commerciaux pour le bois, le fer, l’ocre et les productions vivrières. Le commerce fluvial, autrefois vital, ne peut plus assurer l’écoulement des marchandises locales. Les installations hydrauliques (rigoles, étangs-réservoirs) tombent en désuétude ou sont reconverties pour d’autres usages (pêche, tourisme, irrigation agricole)[2][3][7].

Face à cet isolement économique croissant, la Puisaye tente de se raccrocher à la nouvelle économie ferroviaire. Dès 1863, des études sont menées pour relier Orléans à la ligne Paris-Strasbourg, avec un tronçon passant par Gien et Auxerre[28][29]. Après de longues discussions et plusieurs projets, la concession est attribuée en 1876 à la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM)[28][29]. Les travaux de construction commencent, et la ligne d’Auxerre à Gien est ouverte en deux temps : le tronçon Gien-Toucy en 1884, puis Toucy-Auxerre en 1885[28][30][29][31].

Pour la Puisaye, région « recouverte de forêts et d’étangs » et « pays d’accès très difficile » où, en 1836, une charrette mettait 15 heures pour relier Auxerre à Saint-Fargeau, l’arrivée du train est perçue comme une révolution[28][31]. L’Annuaire Départemental de 1860 témoigne de cet enthousiasme : « Voici venir les chemins de fer. Déjà ils sont à nos portes, emportant tout sur leurs ailes de feu. Déjà le sifflet perçant de la locomotive est venu réveiller de son sommeil séculaire, cette vieille terre »[28][31].

Un patrimoine hydraulique et industriel en reconversion

Si la Puisaye a perdu son rôle stratégique dans la logistique nationale, elle a conservé un patrimoine hydraulique, industriel et culturel exceptionnel qui attire aujourd’hui touristes, chercheurs et amoureux de l’histoire.

Les étangs-réservoirs, toujours gérés par VNF, continuent d’alimenter le canal de Briare et servent également à l’irrigation agricole, à la pêche et au tourisme[2][3][7]. Le lac du Bourdon à Saint-Fargeau, le plus vaste de Puisaye, est un site prisé pour les loisirs nautiques et la randonnée[2][7]. Les rigoles d’alimentation, dont 70 kilomètres ont été rénovés entre 2021 et aujourd’hui dans le cadre du plan France Relance, témoignent de l’ingéniosité hydraulique du XVIIᵉ siècle[4][2].

Le ferrier de Tannerre-en-Puisaye, l’un des plus grands sites sidérurgiques de la Gaule romaine, est ouvert au public avec des parcours d’orientation et des panneaux explicatifs[16][17]. Il raconte trois grandes périodes d’activité : la production de fer en bas-fourneaux à l’époque gallo-romaine, la forteresse médiévale détruite au Moyen Âge, et l’exploitation des scories au XXᵉ siècle[16][17].

L’ancien escalier de sept écluses de Rogny, monument historique, est un haut lieu touristique et pédagogique où des visites guidées permettent de comprendre l’importance logistique de l’ouvrage et la maîtrise hydraulique de l’époque[35][36][37][38][39][40].

L’économie actuelle de la Puisaye-Forterre repose sur le tourisme, l’agriculture (productions en grande culture et circuits courts via le Drive des Fermes de Puisaye), et la valorisation des savoir-faire traditionnels : bois, chanvre, terre (poterie), pierre et métal[41][42]. La poterie reste vivante à Saint-Amand-en-Puisaye et Bonny-sur-Loire, avec de nombreux céramistes perpétuant les techniques ancestrales[11].

Chronologie des flux et des ruptures

  • 1604 : Lancement des travaux du canal de Briare par Hugues Cosnier (Henri IV/Sully)
  • 1642 : Mise en navigation du canal de Briare et de l’escalier de Rogny
  • XVIIᵉ-XVIIIᵉ siècles : Âge d’or du commerce fluvial ; la Puisaye fournit eau, bois, fer, ocre et vivres
  • 1763 : Nicolas Croiset perfectionne l’extraction et le traitement de l’ocre à Pourrain
  • 1782-1783 : Disette de bois à Paris ; projet de construction du canal du Nivernais
  • 1841 : Mise en service du canal du Nivernais
  • 1880 : Apogée de l’industrie ocrière en Puisaye (18 000 tonnes/an, 400 ouvriers)
  • 1880-1887 : Contournement Freycinet du canal de Briare ; abandon de l’escalier de Rogny
  • 1884-1885 : Ouverture de la ligne ferroviaire Auxerre-Gien
  • 1901 : Création du lac du Bourdon pour alimenter le canal de Briare
  • 1911-1912 : Construction du chemin de fer à voie étroite des ferriers de Tannerre
  • 1922 : Mise en service de l’usine élévatoire de Briare
  • 1931 : Dépose de la ligne ferroviaire des ferriers
  • 1938 : Fermeture de la ligne Auxerre-Gien aux voyageurs
  • Années 1950 : Fermeture définitive de la ligne Auxerre-Gien au fret
  • 1982 : Classement du ferrier de Tannerre en Monument historique
  • 1998 : Création du train touristique de Puisaye-Forterre
  • 2021 : Rénovation de 70 km de rigoles d’alimentation du canal (plan France Relance)

Une thèse essentielle : l’eau comme capital stratégique

L’histoire de Rogny-les-Sept-Écluses et du canal de Briare ne peut se comprendre sans celle de la Puisaye. Ce territoire humide, longtemps perçu comme enclavé et difficile d’accès, a été le véritable moteur hydraulique d’une révolution logistique nationale. Sans les étangs-réservoirs de Puisaye, sans les 70 kilomètres de rigoles, sans la maîtrise de l’eau par les ingénieurs du XVIIᵉ siècle, l’escalier de Rogny et le canal de Briare n’auraient jamais pu fonctionner.

La Puisaye a payé cher son rôle stratégique. Quand le rail a remplacé le fluvial au XIXᵉ siècle, elle a perdu ses débouchés commerciaux pour le bois, le fer, l’ocre et les productions vivrières. Ses installations hydrauliques sont tombées en désuétude. Sa tentative de reconversion ferroviaire a échoué, faute d’un trafic suffisant et d’une volonté politique durable.

Aujourd’hui, la Puisaye se réinvente autour du tourisme, du patrimoine et des savoir-faire locaux. Mais elle reste, dans l’ombre, le château d’eau oublié d’un empire logistique qui a façonné l’économie française pendant trois siècles. Visiter Rogny-les-Sept-Écluses, c’est rendre hommage à l’ingéniosité hydraulique et à la résilience d’un territoire qui a su s’adapter, encore et encore, aux mutations économiques et techniques.

Sources

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